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Un véhicule à moteur (2) est mû par un moteur à combustion interne (8) auquel du carburant est amené par un carburateur pourvu d'une soupape d'étranglement (98). Le couple de sortie du moteur est fonction de l'ampleur de l'ouverture de la soupape d'étranglement, à savoir de l'angle d'étranglement (ta), c'est-à-dire que le couple de sortie est proportionnel à l'angle d'étranglement (ta). Le conducteur du véhicule peut faire varier l'angle d'étranglement (ta) par rapport au temps (ta). Le moteur entraîne les roues du véhicule sur la route par l'intermédiaire d'une transmission comprenant un embrayage (12) et une boîte de vitesses (14). La commande d'embrayage permet d'engager et de désengager automatiquement le moyen d'embrayage (12), et ainsi, la capacité de transmission de couple (tc) du moyen d'embrayage est variable en fonction du temps (t). Ladite commande comporte un microprocesseur. Au-dessous d'une valeur d'angle d'étranglement prédéterminée (x), la commande réduit automatiquement la capacité de transmission de couple (tc) de l'embrayage à une valeur juste suffisante pour transmettre par l'intermédiaire de l'embrayage le couple communiqué à ce dernier, et la commande calcule également une valeur de référence de détection (DR) qui est égale à l'angle d'étranglement (ta) actuel plus une faible constante prédéterminée. Si l'angle d'étranglement (ta) est inférieur à (x) et ensuite soudainement accru, l'embrayage patine tandis que sa capacité de transmission de couple (tc) est automatiquement accrue de manière exponentielle (v1, n3, ou p3) par la commande sur un laps de temps prédéterminé (T1), par exemple 0,3 secondes. Si l'augmentation de l'angle d'étranglement (ta) est supérieure à la valeur de référence de détection actuelle (disons DR3 ou DR4), l'accroissement (n3 ou p3) de la capacité de transmission de couple de l'embrayage est initialement retardé par la commande pendant une durée prédéterminée (T2), par exemple 0,1 seconde. Le patinage de l'embrayage précité vise à réduire les à-coups dans la |
