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<p>L'invention concerne un procédé de réduction des émissions de NOx et/ou de CO/CO2 issues de la combustion des produits du charbon (17) ou des hydrocarbures. Un ou plusieurs rideaux de fer particulaire, sous formes de flocons ou analogues, sont ventilées dans la chambre de combustion et/ou le courant de gaz brûlés existant encore sous haute température. Par ailleurs, dans un four de chauffe au charbon ou une chaudière (11), de la magnétite particulaire peut être injecté, par exemple, dans une région juste au-dessus du charbon où le Hg et les métaux lourds seront piégés à un endroit situé sous une zone de combustion (21) à « couche textile » (23), à proximité de laquelle le fer est injecté. Du fer élémentaire particulaire approprié peut être avantageusement fourni dans le site au moyen d'un disque à poncer ou analogue pour réduire un fil de laiton ou une tige en flocons fins. Un certain type de fer peut également adsorber le mercure via la formation de « fer rouge » puis éliminé avec les oxydes solides, le carbure métallique et le fer météoritique via les escarbilles d'une chaudière. L'injection d'une suspension de Fe et/ou de FeO dans une solution aqueuse de carbonate de calcium permet de réduire spécifiquement les émissions de SOx dans le courant de gaz brûlés alors que la température est d'au moins 600 °C. Toutes les particules amenées en aval dans le courant de gaz brûlés sont éliminées au moyen de cyclones, d'épurateurs de fumées, de précipitateurs ou analogues avant qu'elles n'atteignent l'empilement (27).</p> |
