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<p>Méthode pour provoquer des transmutations nucléaires à basse température, ces dernières se produisant pendant une électrolyse dans un milieu aqueux, à l'intérieur d'une cellule (12). Les nouveaux éléments obtenus par transmutation pendant le fonctionnement de la cellule ont une masse atomique à la fois plus élevée et plus faible que l'élément d'origine soumis à la transmutation. Un bon nombre de nouveaux éléments présentent également des modifications des abondances isotopiques naturelles. La cellule d'électrolyse (12) comporte un boîtier non conducteur (14) avec une entrée (54) et une sortie (56), ainsi qu'une première et une seconde grille conductrice (38, 44) placées dans le boîtier (14). Une pluralité de noyaux non métalliques, de préférence en polymère réticulé, dont chacun possède une surface extérieure conductrice métallique uniforme formée d'un matériau absorbant l'hydrogène tel qu'un matériau formant un hybride métallique, forment un lit (35) compact de perles conductrices (36) dans le boîtier (14), en contact électrique avec la première grille (38) adjacente à l'entrée (54). Le système (10) comporte une source d'alimentation électrique (15, 16) connectée de manière fonctionnelle à la première et à la seconde grille (38, 44), un courant électrique circulant entre les grilles (38, 44) et dans le milieu aqueux (59) qui traverse la cellule (12) pendant le fonctionnement de cette dernière.</p> |
