摘要 |
La main, qui s'agrippe à une poignée de canne anglaise, de canne simple ou de béquille, ou à un guidon de vélo, de moto ou de quad en pleine course, ou à un manche d'une raquette de tennis dans un combat acharné, est à plus de 38°C. Elle transmet cette chaleur à l'objet qu'elle enserre et qui passe ainsi de la température extérieure, le plus souvent de 10 à 20 degres C, à des températures de l'ordre de 38 degres /39 degres C. La main est en vasodilatation, elle sue, elle glisse, elle se fatigue et doit serrer encore plus fort. Les muscles s'épuisent. La main est douloureuse. Les crampes menacent. L'effort exige encore et encore plus d'effort. Les performances en sont affectées.Grâce à un système de refroidissement à air connu depuis le moteur à explosion mais inversé ici afin que les ailettes(4) de déperdition de chaleur se situent discrètement à l'intérieur du tube ventilé, représenté, soit par la poignée d'une canne anglaise, d'une canne simple ou d'une béquille, soit par le guidon d'un vélo, d'une moto ou d'un quad ou soit encore par le manche d'une raquette de tennis, le refroidissement est assuré tout simplement et il est d'autant plus efficace que l'action est forte et violente donc génératrice de chaleur nuisible à dissiper.
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