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<p>Une mémoire optique comporte un élément de stockage à deux photons dans lequel on peut écrire depuis un premier état dans un deuxième en réponse à une lumière d'ECRITURE, ainsi qu'un élément de signal qui ne devient fluorescent que par absorption d'un photon au niveau des emplacements dans lesquels on a écrit, en réponse à la lumière de LECTURE. Le support de stockage peut être un fulgide. La mémoire peut également comprendre un support de transposition en fréquence facilitant l'écriture. L'écriture est effectuée par un modulateur de lumière spatial (SLM) à système de concentration dynamique conçu pour concentrer suffisamment de puissance au niveau des emplacemnts d'ECRITURE pour l'absorption de deux photons non linéaire. Dans certains modes de réalisation, on empêche la diaphonie pendant l'écriture simultanée par espacement des faisceaux d'ECRITURE séparés au moyen d'un nombre entier d'espacement inter-faisceau de sorte que des datels non adjacents soient écrits simultanément dans un 'paragraphe', et que des paragraphes différents soient écrits dans les zones non écrites à un autre moment. Il est possible de faire faire un mouvement de translation à la mémoire par rapport au SLM pour permettre l'accès aux différents paragraphes, ou de la consulter au moyen d'un SLM électroniquement clairsemé. Pour la lecture, une nappe de lumière de LECTURE traversant les pages de support écrit est utilisée de manière à rendre le composant de signalisation fluorescent, et le motif fluorescent est reproduit sous forme d'image sur un groupement de détecteur. La mémoire peut être constituée de en couches empilées, espacées par des guides d'ondes lumineuses de manière à guider le faisceau de LECTURE vers la page à lire. Dans un autre mode de réalisation, l'écriture et l'effacement sont réalisés par une nappe de lumière modulée quasiment à une dimension coupant une deuxième nappe de lumière non modulée au niveau d'une colonne, dans la mémoire.</p> |
