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Pour la mesure de la teneur des gaz en oxygène, on utilise fréquemment des cellules de mesure qui ne permettent plus une mesure reproductible de l'oxygène lorsque le gaz à mesurer contient du dioxyde de carbone. On doit donc veiller à ce que la cellule de mesure ne soit pas exposée trop longtemps au gaz à mesurer et à ce qu'elle soit régénérée sur une période suffisamment longue après une exposition au dioxyde de carbone. En conséquence, il est proposé de mesurer la teneur en dioxyde de carbone du gaz à mesurer et de calculer par intégration une somme (S). Si la cellule de mesure est exposée à de l'air plus pur, la somme est diminuée en proportion de la régénération de la cellule de mesure. La somme est donc un moyen de déterminer l'état de la cellule de mesure. Lorsque cette somme est inférieure à une valeur limite déterminée, et dans ce cas uniquement, la cellule de mesure est déclenchée pour une mesure. L'invention est employée pour mesurer la teneur en oxygène des gaz d'échappement des automobiles. |
