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<P>L'invention concerne le scellement verre-métal, selon lequel on procède sur une pièce métallique, notamment un alliage à base de fer et nickel ou fer, nickel et cobalt d'abord à une décarburation sous atmosphère, à température comprise entre 950 degre(s)C et 1100 degre(s)C, formée d'hydrogène (10 à 99 %), de vapeur d'eau (1 à 8 %), avec un rapport hydrogène/vapeur d'eau supérieur à cinq, le reste éventuel étant de l'azote, puis à une oxydation sous atmosphère, formée d'un gaz vecteur inerte tel l'azote, soit à une température de 600 degre(s)C à 800 degre(s)C et une teneur en vapeur d'eau de 8 % à 2 %; soit à une température de 900 degre(s)C à 1100 degre(s)C et une teneur en vapeur d'eau de 4 % à 0,5 %; après quoi on procède à l'établissement de la liaison. Le mélange gazeux pour une atmosphère de traitement est obtenu par mélange d'azote et d'hydrogène véhiculés en 13 et 14, auquel on adjoint de l'oxygène en 15 devant une chambre catalytique 11 permettant l'élimination de l'oxygène et l'élaboration d'une teneur en vapeur d'eau.</P>
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