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Tube pour hyperfréquences (64) de structure similaire à celle d'un magnétron, comprenant un orifice de sortie (66) et un orifice d'entrée séparé (60). Le tube comprend une cathode (72), un circuit d'anode rentrant (74) ainsi qu'un moyen destiné à produire des champs électriques et magnétiques croisés (82, 84) dans un espace d'interaction (80) entre le circuit de cathode et d'anode. On peut utiliser le tube pour hyperfréquences comme oscillateur verrouillé par injection ou amorcé par injection, ou comme amplificateur. Un réseau (70) de couplage de signaux d'entrée bloque virtuellement le transfert d'énergie HF produite de manière interne à la fréquence de fonctionnement, dans une direction inverse, par l'orifice d'entrée proche de la source de signaux d'entrée (62). Le réseau de couplage d'entrée comprend une boucle d'anode couplée entre deux points de phase et de grandeur égales dans l'onde stationnaire existant dans le circuit d'anode, ainsi qu'une boucle d'entrée positionnée pour permettre le couplage inductif du signal d'entrée à la boucle d'anode. On peut coupler le signal d'entrée à la boucle d'entrée avec une ligne de transmission coaxiale, un guide d'ondes à moulure ou une ligne de transmission à deux fils. Le tube pour hyperfréquences peut utiliser des circuits d'anode classiques de type à aile ou à barre, ou bien utiliser des circuits d'anode à ligne mélangée ayant des sections à ondes directes et à ondes inverses. |
