| 摘要 |
Le gréement de voile possède une voile (1) coupée en principe en quadrilatère, à travers la voilure de laquelle est monté de l'extrémité du mât (6) jusqu'à la ralingue de fond (7) un fourreau de mât (4) où est enfoncé un mât élastique (2) de section transversale plate. Le wishbone (3) ou la perche de bôme (5) est relié à l'avant au point d'écoute du guindant (8) et à l'arrière au point d'écoute de la ralingue de chute (8). En choisissant une forme convexe, le bord de la voile, c'est-à-dire les ralingues, maintient à l'égard de la voilure à l'intérieur des ralingues une tension accrue. Ainsi, déjà lors de l'opération de tension, la voile se gonfle non seulement horizontalement, mais aussi verticalement. En cas de pression du vent se produit un gonflement de la voile concave et dirigé face au vent. Le mât (2) relié à la voile (1) sur toute la voilure par le fourreau de mât (4) se plie alors dans la même direction que la voile (1). La tension des guindants et des ralingues de chute pliés en U produit un effet de triangulation dont l'action est similaire à un virage de bord, tout en empêchant que la pointe du mât ne s'écarte vers le côté sous le vent. Les forces de tension de la voile agissant sur le mât (2) depuis devant et depuis derrière s'équilibrent entre elles; les forces agissant sur le mât (2) sont par conséquent faibles. Il est ainsi possible de construire un mât (2) plus léger et plus élastique. Le guindant sous mât n'offre qu'une résistance à l'air minime et favorise un écoulement laminaire; il en résulte essentiellement une amélioration de la puissance d'avancement et une réduction des forces transversales. En outre, ce gréement de voile permet un angle d'attaque au vent plus plat, si bien qu'il est possible de naviguer avec une voile plus haute. Comme la pointe du mât se plie face au vent en cas de pression du vent, l'écoulement de l'air dans la zone supérieure de la voile ne peut pas s'interrompre. |
